mercredi 27 janvier 2010

C'est vous qui l'dites : Marie-Hélène, Yaacobi et le complexe de Bouchot

Marie-Hélène est allée voir Yaacobi et Leidental par la compagnie La Mandarine Blanche, au centre culturel d'Orly. Voici ce qu'elle nous en dit :

"Que faire pour donner un sens à sa vie ? Le grand auteur israélien, Hanokh Levin, souligne la complexité de la chose en donnant vie à des êtres lancés dans la quête du bonheur, mais minés par les illusions qui cessent de bercer, les humiliations qui dégradent, les désirs qui s’étiolent et les rêves qui déçoivent. Que raconte cette comédie frénétique en trente tableaux et douze chansons ? Yaacobi décide de rompre avec son meilleur ami, Leidental, il veut vivre pour lui seul et « le ratatiner ».


Il rencontre Ruth qui a des atouts merveilleux pour le séduire. Il l’épouse, et Leidental s’offre lui-même en cadeau de mariage. Une situation extravagante, où les promesses de bonheur s’enlisent dans la torpeur du quotidien, où l’hystérie des uns ou des autres, éminemment théâtrale, dévoile un mal-être angoissant et drôle. Servi par des musiciens et des comédiens-chanteurs virevoltants, ce véritable spectacle de théâtre populaire allie le mime, le guignol, le vaudeville et le burlesque sans pour autant amoindrir la profondeur décapante du propos."
 
Allez faire un tour sur son blog pour découvrir ses critiques de spectacles, de films, ses lectures, ses activités créatives.
 
Petite mise en garde : la fréquentation régulière du blog de Marie-Hélène peut provoquer un "complexe de Bouchot", syndrome observé chez certains sujets ayant une activité normale et se voyant brutalement comme de grosses moules baîllant sur un rocher en découvrant la frénésie culturelle de certains de ses congénères...
 

 
Vos contributions sont les bienvenues. Ce sont elles qui donnent à ce blog sa richesse et sa diversité.
Pour écrire un billet, envoyez-nous votre texte par courriel et je me chargerai de le mettre en ligne.
 

mardi 26 janvier 2010

Pour Haïti

La municipalité de Chevilly Larue proposent une soirée festive de contes, de musique et de danse pour soutenir Haïti.
Cela se passe samedi 31 janvier au théâtre André Malraux à 19h30.
L'entrée est libre et des urnes seront à disposition du public pour collecter les dons destins à soutenir les associations dans leurs actions à Haïti.

Réservations au 01 41 80 69 69 ou sur le site du théâtre



dimanche 24 janvier 2010

Les bons contes font les bons Amis

Le weekend prochain, au programme :

  • samedi 30 janvier à 14h30 un ciné-goûter au cinéma Paul Eluard autour du film "Le cirque" de Charlie Chaplin. Après la projection, les Amis du Théâtre et du Cinéma vous accueilleront au bar pour un goûter (assiette + boisson = 1€50).




La bande-annonce est ici.
  • deux soirées contes au théâtre Paul Eluard et un atelier à la médiathèque Aragon en compagnie de Nicolas Bonneau.
vendredi 29 janvier à 20h30 "Sortie d'usine"



Vous pouvez visionner des extraits du spectacle en cliquant .

samedi 30 janvier à 20h30 "Inventaire 68, un pavé dans l'histoire"

Samedi 30 janvier de 14h00 à 17h00, le théâtre et la médiathèque vous proposent de participer à un atelier d'iniation au plaisir de conter avec Nicolas Bonneau.

Renseignements et inscriptions auprès de Marie Combasteix au 01 48 90 01 76
m.combasteix@magiconline.fr

En contrepoint des deux spectacles de Nicolas Bonneau, le cinéma vous propose à 19h00 et à 20h00  un court-métrage de Denis Gheerbrandt, "La totalité du monde", qui a pour toile de fond "la catastrophe de la désindustrialisation" à Marseille.

Pour découvrir l'univers de Nicolas Bonneau, rendez-vous sur son blog.

Pour nous proposer d'autres idées de sorties pour les prochains jours, pensez à utiliser les commentaires en fin de message.

samedi 23 janvier 2010

Stage de danse contemporaine avec Christine Bastin

Le weekend dernier un stage de danse contemporaine réunissait une quinzaine de stagiaires autour de la chorégraphe Christine Bastin pour deux demi-journées de travail intensif.
Christine Bastin est une compagne de route du Théâtre Paul Eluard depuis longtemps où elle a travaillé en résidence.
Ce stage était proposé en amont de son spectacle Premières Neiges qui sera donné le samedi 27 mars.
Prise de conscience du corps, mise en tension et relâchement, travail sur la respiration nous ont permis d'entrer dans ce travail corporel.



Christine nous a proposé ensuite un travail dynamique au sol permettant de prendre conscience des appuis à partir d'enchaînements.
Amateurs éclairés, "grands débutants" ou comédiens professionnels, chacun travaille à son niveau pour intégrer les mouvements, mémoriser leur enchaînement.
Retour ensuite à la station debout pour travailler en duo : un danseur se tient debout le plus relaché possible pendant que l'autre vient le faire osciller par de petites impulsions, un souffle... CONSCIENCE DE SOI ET PRESENCE A L"AUTRE sont les maîtres mots de ce stage.



La première séance se termine par le travail sur une chorégraphie.
Le lendemain, les courbatures nous rappellent l'existence de muscles que nous avions oublié.
Le travail sur le souffle et les appuis au sol est repris.
Nous travaillons ensuite sur la connexion : chacun dans son travail se met dans une attention aux autres qui lui permet d'aller vers un autre danseur dans un moment de partage d'une émotion.



Ensuite nous travaillons longuement en duo par un travail de résistance (un danseur se met en résistance passive et l'autre le fait avancer) et de chute (un danseur chute dans les bras de son partenaire qui l'accompagne vers le sol).
Ce travail est ensuite proposé par demi-groupe pour observer ce qui ce passe chez les autres danseurs.
Les choix musicaux de Christine Bastin sont écclectiques et nous proposent différentes émotions qui colorent le travail proposé. Elle nous explique qu'une des grandes révolutions qu'a permis la danse contemporaine c'est de s'affranchir de la tutelle de la pulsation de la musique, en clair on ne danse pas forcément "en rythme".
Nous poursuivons la chorégraphie commencée la veille en y ajoutant quelques enchaînements puis en la vivant sur des mussqiues très différentes.
Cette deuxième séance se termine par une présentation du spectacle qui sera presenté en mars lors du "temps fort danse". Nous en reparlerons dans un prochain billet.

Ce stage est l'occasion d'entrevoir des choses nouvelles dans notre rapport au corps, un moment pour être présent à notre corps.
C'est sûrement l'une des portes les plus directes pour accéder à la danse contemporaine et pouvoir se détacher de ce besoin de "comprendre" un spectacle.

Cette expérience nous est proposé le 6 et 7 février avec le chorégraphe Serge Ambert et le 13 et14 février avec le chorégraphe Daniel Dobbels.
Des ateliers adultes/enfants auront lieu avc Jacques Fargearel les dimanche 14 février et 14 mars.

Pour tous ces stages les places sont limitées.

Renseignements et inscriptions auprès de Marie Combasteix au 01 48 90 01 76



mardi 19 janvier 2010

Côté cinéma

Des avis et des rendez-vous pour les cinéphiles.
  • Marie-Hélène dont vous pouvez retrouver les chroniques cinéma sur son blog est allée voir Max et les Maximonstres et les Chats persans. Voici ce qu'elle en dit :



"Nous sommes allés avec Audran voir "Max et les maximonstres", les "grands" n'ont pas voulu !
C'est une jolie fable, un enfant s'évade dans son monde imaginaire. Les monstres ne sont pas méchants, ils sont même rassurants.
Mais il semble que même les monstres aient des états d'âme !
Audran (9 ans) a bien aimé..."

L'occasion pour chacun de relire ce grand classique de la littérature enfantine.





"Ça commence comme un documentaire , les acteurs jouent leur propre rôle : Negar Shaghaghi, Ashkan Koshanejad, Hamed Behdad. Et puis le film nous emmène dans les sous-sol de Téhéran, à la recherche de la musique underground...

Un excellent voyage avec ces jeunes plein de rêves, d'espoir, fous de musiques, de cinémas, de libertés...
Une image assez inattendue pour moi de l'Iran, une modernité visible, des filles "relativement" libres...
La fin est surprenante, la situation est vraiment dramatique mais le film sait en parler avec humour...
J'ai vraiment beaucoup aimé..."

  • Une soirée Cinéma et Psychanalyse mercredi 21 janvier à 20h30 au Centre Culturel d'Orly autour du film de Patrice Chéreau "Persécution".



« Persécution » est l’histoire d’un homme amoureux (Daniel). Un homme qui attend, en demande perpétuelle de preuves d’amour de la part de celle qu’il aime. Un homme qui se soucie des autres
mais ne porte pas toujours un regard tendre sur eux.
Chéreau aborde à travers ce film, un de ses thèmes : « le couple ». Il nous parle de la difficulté d’aimer, de vivre un lien, de former un couple, d’avoir et de tenir la bonne distance et donc des incompréhensions, souffrances, malentendus, tous les décalages qui d’une façon ou d’une autre sont présents dans l’Amour.
Nous voyons dans ce film, comment la question de l’amour et du désir qu’il implique est un questionnement sur le fil, fil psychique qui questionne le sujet dans son rapport le plus intime à l’autre.

La bande-annonce du film est ici.

La projection sera suivie d'un débat.

samedi 16 janvier 2010

Tous les Choisyens du monde, dix ans déjà!

Depuis dix ans, le théâtre Paul Eluard mène un travail de création dans la ville de Choisy le Roi qui met ses habitants au coeur même de processus de la création artistique.

Pour les dix ans de cet événement, Didier Mouturat a invité Pierre de Vallombreuse (dont les photographies issues de l'exposition Peuples illustraient les couvertures des programmes de la saison 2008/2009) à venir photographier les habitants de la dalle en plein renouvellement urbain.

"Et j'ai vu que c'était mon frère", un titre qui annonce cette recherche d'universalité, cette part d'humanité que chacun d'entre nous porte. En ces temps troublés de débat sur "l'identité nationale" il est réconfortant de chercher ce qui nous rassemble tous en tant qu'être humain.

Pour fêter ces dix années de création, l'équipe du théâtre Paul Eluard nous invite à deux soirées autour d'une exposition des photos de Pierre de Vallombreuse et d'une déambulation-spectacles parmi de "petites formes", c'est à dire des spectacles courts mêlant divers genres : théâtre, conte, chanson, danse ... et réunissant des partenaires de longue date du théâtre : Sylvie Montlahuc, Pasclaine Verrier, Bernard Sultan, ...

  • vendredi 22 janvier à 19h00, vernissage de l'exposition suivi à 20h30 de la déambulation-spectacles
  • samedi 23 janvier à 20h30 déambulation-spectacles.
Réservation indispensable au 01 48 90 89 79.

Big Up pour Nouara

Vendredi 15 janvier les Amis du Théâtre et du Cinéma allaient au Centre Culturel d'Orly pour assister au spectacle de Nouara Naghouche "Sacrifices".

Le One Woman Show de celle qui se décrit comme une pure AA, arabe-alsacienne, nous offre une galerie de personnages de la ZUP des quartiers ouest de Colmar. Tour à tour émouvants, grinçants, attachants, ces portraits dégagent tous une grande authenticité : de Marie-France, responsable de l'Association "Elles ont des ailes" à Zoubida qui écoute Radio Nostalgie en faisant son ménage, chacun reconnaît dans ces femmes sa voisine, sa collègue, son amie.

Ce spectacle est un réquisitoire contre les violences faites aux femmes et l'immense talent de Nouara est de savoir tout à la fois tenir le fil de l'humour et de l'émotion pour tisser un conte moderne qui nous fait rire aux larmes.

Pour tout savoir sur l'artiste, le spectacle et des extraits vidéo, c'est ici.
Après la représentation, Nouara est venue dialoguer avec les spectateurs.
Merci à Lysiane et à Gérald de nous faire partager cette belle rencontre.

Quelques dizaines de minutes après le spectacle, elle arrive souriante, la voix un peu fatiguée, prête à se livrer au jeu de questions, réponses. Elle le fait avec sérieux et sincérité.


« Ce spectacle, c’est elle : c’est une mise à nu, elle y met ses tripes ».Et même si d’aucun le trouve violent, elle a pour ses personnages de la tendresse, de l’attachement. Tout particulièrement Zoubida enfermée chez elle mais qui voyage dans sa tête, « celle qui porte toutes les femmes en elle.» Cette réalité, Nouara l’a rencontré et la raconte avec humour et énergie.


Rien ne la destinait à ce parcours si ce n’est une capacité à amuser et à faire rire autour d’elle ; rien n’était tracé.


C’est sur la scène qu’elle a appris à se sentir bien en exprimant son « trop plein de souffrances, d’injustices à l’égard des femmes d’où qu’elles viennent », quelque soit leur appartenance sociale et culturelle et un besoin impérieux « d’apaiser ses maux avec des mots »


Certes elle s’expose mais la réalité des cités et d’ailleurs, lui donne cette force, cette envie de partager les choses qui la touchent – la maltraitance, le respect des femmes, l’attitude des hommes. Elle témoigne sans donner de leçons moralisantes et culpabilisantes.


Les spectateurs la remercient de « sa belle énergie », certains lui envient son travail corporel et ses talents de danseuse qui ne sont, selon elle, que l’expression d’une liberté retrouvée.


Nouara après une tournée de ce spectacle jusqu’en 2011, envisage de poursuivre le chemin. De beaux projets sont en gestation avec comme fil conducteur Zoubida et ses nouvelles expériences.



mercredi 13 janvier 2010

Blanche-Neige, pour qu'une pomme même empoisonnée ne soit pas celle de la discorde.

Suite au billet publié sur le blog et à vos réactions au spectacle Blanche-Neige, le directeur du théâtre Paul Eluard a rédigé deux réponses sur le site du théâtre.
Vous pouvez les lire en cliquant ici.
Loin d'épuiser le débat, ces textes sont un point de départ à une réflexion de fond sur la place du spectateur dans le dispositif culturel.
Une réponse du metteur en scène, Nicolas Liautard, serait très éclairante également. Le blog des Amis du Théâtre et du Cinéma lui est ouvert.

dimanche 10 janvier 2010

Blanche-Neige : spectacle "Jeune Public"?

Samedi soir, à 19h30, "Blanche-Neige" au théâtre Paul Eluard, spectacle "jeune public" conseillé à partir de 6 ans.
Nous nous retrouvons avec quelques amis, ronchonnant un peu sur l'horaire : entre les uns qui ont goûté tard, les autres qui ont dîné tôt et ceux qui commencent à bailler, l'horaire ne fait pas l'unanimité.

Il s'agit ce soir d'une création de Nicolas Liautard présentée comme une" féérie" et nous sommes impatients de découvrir comment le metteur en scène a revisité ce conte.

La scène s'éclaire : une tenture en tissu diaphane sépare l'avant-scène de la salle et une tenture en plastique irisée sépare l'avant-scène du fond de la scène. Ce dispositif scénique sera en place durant toute la représentation, plongeant les décors et les comédiens dans une ambiance fantômatique et permettant de créer des scènes parallèles dans un même temps.

Scène d'ouverture, la Reine, coud dans un fauteuil. La deuxième scène me plonge dans la perplexité : nous assistons à la naissance de Blanche-Neige : une matrone plonge dans les entrailles de la Reine pour en extraire le bébé tandis que la mère meurt en couches, jambes écartelées pendant des minutes qui me paraissent interminables. Cette volonté manifeste de lenteur sera la marque de tout le spectacle.

Les tableaux se succèdent, avec une recherche esthétisante évidente : décors raffinés, costumes luxueux mais n'évitant en rien la cruauté du propos. La méchante Reine dévore à belles dents ce qu'elle croit être le coeur de Blanche-Neige (pièce de boucherie tout ce qu'il y a de plus vrai, le réalisme allant jusqu'à la sortir de son emballage Buffard!!!), le chasseur traîne un cadavre de chèvre sur la scène (espérons que celui-là est un faux...).

La pièce est sans paroles, la musique évoque l'ambiance d'un lounge bar. L'érotisme s'infiltre dans les tableaux : Blanche-Neige se dépouille lascivement de sa robe de princesse devant un immense miroir, se retrouve sur scène en lingerie fine et finit en mini-jupe pailletée ; le chasseur est torse nu et porte un masque-casque digne d'un match de catch ou d'un univers SM glauque.
J'attends un peu de réconfort du côté des nains car le malaise n'a cessé de grandir pour moi. Les nains sont en fait des robots portant des masques effrayants à la Scream.

La mise en scène est impeccable. Les moyens sont manifestement énormes : décors, projections vidéos, animaux vivants sur scène...

Vous l'aurez compris, ce spectacle ne m'a pas plu, entre ennui et malaise. Le vif débat qui a suivi la représentation prouve que ce spectacle n'a laissé personne indifférent : spectateurs enthousiastes (venus sans enfants ceux-là) et beaucoup d'autres déçus voire en colère.

Au-delà de la qualité du spectacle que chacun est libre d'apprécier, je m'interroge sur le fait de l'avoir proposé en spectacle Jeune Public et qui plus est, à partir de 6 ans!
Certes les enfants verront cela avec leur propre regard et ils sont animés eux-mêmes par des pulsions agressives, traversés par la sensualité et questionnés par la mort. Mais la fonction de l'art n'est-elle pas justement de sublimer ces pulsions en en proposant une métaphore. Leur exposition crue sur scène n'apporte à mon sens pas grand chose à la construction psychique d'un enfant.

Ce billet n'engage que moi mais il me semble important de pouvoir entamer un véritable débat sur le concept de jeune public. En accompagnant des enfants à un spectacle, parents ou éducateurs établissent un rapport de confiance avec les programmateurs. Il me semble donc légitime que ces adultes puisse exprimer leur avis puisque ce spectacle s'adresse aux enfants dont ils ont la responsabilité.

Merci de contribuer à ce débat en nous donnant votre avis via les commentaires.

jeudi 7 janvier 2010

ch'uis trop vénèr!



Vous comprendrez dès ce titre que ce billet est ce qu'il convient d'appeler un "billet d'humeur", terme communément utilisé pour désigner un billet de "mauvaise humeur"...
Quelle est la cause de cette ire soudaine?

Figurez-vous que je viens de réaliser que samedi prochain je devais relever un défi : assister en famille à la représentation de Blanche-Neige (qui paraît qu'c'est trop bien, qui faut ab-sol-lu-ment pas rater ça) à 19h30 (le spectacle dure une heure) au théâtre Paul Eluard, raccompagner les sept nains à la maison et être revenue au cinéma à 20h30 pour la soirée débat autour du film "Une affaire d'état" au cinéma Paul Eluard.

Le Père Noël ne m'ayant pas livré de retourneur de temps et mes performances en course à pied quoique exceptionnelles ne me permettant pas encore d'inverser le chrono, je me retrouve obligée de choisir. Et s'il y a bien une chose que je n'aime pas faire, c'est choisir, parce que choisir , c'est RENONCER.

Alors, voilà, ce soir , ch'uis trop vénèr et ce billet est une lettre ouverte aux directeurs du théâtre et du cinéma Paul Eluard, me refaites pas ce coup-là!

NB : pour ceux dont les nains rentrent tout seuls à la maison, il sera possible d'acheter les billets de cinéma dès 19h00 pour pouvoir enchaîner pièce et film.

Pour ceux qui veulent tenter un triathlon, Robinson est en concert au Centre Culturel d'Orly samedi 9 janvier à 16h00.
Un univers rêveur et poétique, de la chanson à texte à voir et à écouter en famille à partir de 5 ans.



Bon courage pour ce weekend sportif!

Dansez maintenant!

Puisque la bise est venue, petites cigales, réchauffez vos pattes lors de trois stages de danse contemporaine pour adultes amateurs proposés par le théâtre Paul Eluard de Choisy le Roi.
Trois chorégraphes nous invitent à découvrir leur univers et à partager leur pratique de la danse contemporaine.

  • Rencontre avec la chorégraphe Christine Bastin le samedi 16 janvier de 15h00 à 18h00 et le dimanche 17 janvier de 10h00 à 13h00, en amont de son spectacle "Premières neiges" joué à Choisy le Roi le samedi 27 mars.



  • Rencontre avec Serge Ambert le samedi 6 février  de 15h00 à 18h00 et le dimanche 7 février de 15h00 à 18h00, avant de découvrir "La fêlure du papillon" le vendredi 26 mars.




  • Rencontre avec Daniel Dobbels samedi 13 février et dimanche 14 février de 15h00 à 18h00 avant de découvrir "L'écharpe grise" le samedi 27 mars.




Pour tous ces stages, renseignements et inscriptions au théâtre auprès de Marie Combasteix, 01 48 90 01 76, m.combasteix@magiconline.fr.

Ce parcours autour de la danse contemporaine se poursuivra en février et en mars par des stages enfant/adulte proposés par la compagnie Le Sillage. Nous en reparlerons dans un prochain billet.

lundi 4 janvier 2010

On va pas en faire une affaire d'état!

Samedi 9 janvier, à 20h30 au cinéma Paul Eluard de Choisy le Roi, venez participer à la soirée rencontre avec Dominique Manotti, auteure, autour du film d'Eric Valette

"Une affaire d'état"

d'après le roman « Nos fantastiques années fric » de Dominique Manotti,
avec André Dussollier, Thierry Frémont, Rachida Brakni.





"Un avion chargé d'armes explose dans le ciel d'Afrique. A plusieurs milliers de kilomètres, dans un parking parisien, une escort girl est assassinée.

Nora Chayd, inspectrice aux méthodes musclées, enquête sur le meurtre sans écouter sa hiérarchie. Victor Bornand, le « Monsieur Afrique » officieux du gouvernement, tente d'étouffer la crise politique déclenchée par l'explosion, quitte à avoir recours à Michel Fernandez, ancien des services de renseignements, aux méthodes « officieuses ». Les meurtres et trahisons se succèdent. La raison d'Etat y est-elle pour quelque chose ?"

Pour visionner la bande annonce du film, cliquez ici.